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Martine Schachtel
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Si Martine Schachtel a voulu être infirmière, c'est sans doute par tradition familiale, mais surtout par passion.
Ainsi, après avoir abandonné l'hôpital au lendemain des mouvements revendicatifs de 1988 pour poursuivre sa tâche de porte-parole en se consacrant au journalisme et à l'édition, elle a souhaité retourner sur le terrain, reprendre sa place aux côtés des infirmières et au service des malades.
Son témoignage, depuis ses souvenirs de débutante timide et maladroite jusqu'à ses actuelles fonctions de surveillante, constitue un saisissant reportage sur le monde hospitalier, où se côtoient sans cesse le drame de la souffrance, de la mort et la cocasserie des incidents de la vie quotidienne.
Avec humour et réalisme, Martine Schachtel fait comprendre l'extraordinaire mutation d'une profession héritière du dévouement des religieuses, aujourd'hui exercée par des jeunes femmes aux compétences toujours plus étendues, qui entendent ne plus rester corvéables à merci dans l'ombre d'un corps médical tout-puissant.
Un document d'une rare humanité.
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Cannabis sur ordonnance ; pour garder le goût de vivre jusqu'au bout
Martine Schachtel
- Albin Michel
- 2 Janvier 2015
- 9782226312570
Cancer du poumon. Alice n'a plus que quelques mois à vivre, entre éprouvantes séances de chimiothérapie et brèves rémissions.
Ses soeurs, qui l'accompagnent dans cette intolérable descente aux enfers, ne pensent qu'à une seule chose : soulager ses douleurs. Mais les médecins ne proposent que des doses massives de morphine, qui plongent la malade dans une semi-hébétude.
Bravant les risques (en Floride où vit Alice, la détention de stupéfiants est interdite), les deux soeurs décident de confectionner pour elle des sablés au cannabis. Trois par jour suffiront à lui redonner pour quelques heures le goût de la vie et du rire.
Un témoignage poignant dans lequel Martine Schachtel, qui fut longtemps infirmière, dénonce une médecine qui s'acharne à maintenir en vie sans traiter la douleur et rouvre le débat sur l'usage du cannabis, qui peut, par ses effets antalgiques et euphorisants, atténuer considérablement la souffrance physique et morale.
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L'hôpital à la dérive ; le cri du coeur d'une infirmière
Martine Schachtel
- Albin Michel
- 1 Septembre 2010
- 9782226215932
Dans ce nouveau livre l'auteur nous propose un voyage initiatique au coeur de l'hôpital d'aujourd'hui. Elle s'interroge et nous interpelle sur l'avenir de nos services publics : interminables réformes en cascade qu'on ne prend pas le temps d'évaluer, dictature des seuls impératifs budgétaires mis en place par des décideurs indifférents au sort des patients, effets pervers des 35 heures, mauvaise gestion des personnels, les signes d'alerte se multiplient.
Pugnace, l'auteur veut pourtant faire confiance aux nouvelles générations - des médecins aux infirmières en passant par toutes les professions qui font vivre un hôpital - qui devront se battre pour que se perpétue notre système de soins, réputé longtemps l'un des meilleurs au monde. Ce n'est hélas plus le cas aujourd'hui. Comment faire pour inverser ce déclin annoncé ?
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Quand une infirmière qui a sacrifié sa vie tout entière au service des malades est à son tour victime du destin, auprès de qui peut-elle trouver le réconfort ? Ceux qu'elle a soignés n'ont-ils pas définitivement gommé le passé ? N'ont-ils pas oublié pour toujours son abnégation et sa présence affectueuse ?
Martine Schachtel, qui a longtemps exercé le dur métier des femmes en blanc prodiguant sans relâche leurs soins attentifs, nous offre cette histoire simple et vraie d'une infirmière et d'un malade pour lesquels l'amour est un remède, plus fort que la maladie, plus efficace que le meilleur des médecins...
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Des bébés, par nature innocents mais nés en détention, sont incarcérés à Fleury-Mérogis, la plus vaste prison pour femmes de France.
Dix-huit mois durant, ils demeurent derrière les barreaux avec leurs mères avant de leur être retirés, leur infligeant ainsi une forme de " double peine ". Si les Français, qui ont longtemps vécu sur le mythe des " prisons trois étoiles ", ont découvert récemment le véritable visage de leur système pénitentiaire, il leur reste encore bien des vérités à regarder en face. Le sort réservé aux femmes vient au premier rang.
Martine Schachtel, qui avait déjà joué un rôle pionnier dans les luttes des infirmières, s'est résolument engagée dans la difficile réforme tendant à faire bénéficier les détenus de soins médicaux dignes de ce nom. Elle raconte non seulement les blocages imposés par les corporatismes du monde pénitentiaire, mais surtout sa découverte de l'incroyable solitude de ces femmes souvent condamnées pour des faits mineurs liés à la misère, à la prostitution ou à la toxicomanie.
Un document sans concession sur les grandes oubliées du débat autour de la nécessaire réforme des prisons françaises.
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Que s'est-il passé pour qu'un matin la police vienne chercher Emma et l'arrache à sa fille, à sa vie, à son métier d'infirmière et la conduise en prison ?
Que peut-elle répondre à ses juges qui l'accusent de complicité pour un délit qu'elle ignore ? Brutalement, le cauchemar devient réalité : l'enfermement, les humiliations quotidiennes, la maladie, et une bien étrange rencontre qui éclairera peut-être sa nuit.
Une histoire qui pourrait être la vôtre...
Martine Schachtel, l'auteur de Femmes en prison, s'est battue, en tant qu'infirmière, pour faire bénéficier les détenus de véritables soins médicaux.
Elle nous fait découvrir dans ce roman la réalité du monde de la justice et de la vie carcérale dans ses excès et ses abus irréparables.
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Femmes en prison : Dans les coulisses de Fleury-Mérogis
Martine Schachtel
- Albin Michel
- 21 Septembre 2017
- 9782226402400
Des bébés, par nature innocents mais nés en détention, sont incarcérés à Fleury-Mérogis, la plus vaste prison pour femmes de France. Dix-huit mois durant, ils demeurent derrière les barreaux avec leurs mères avant de leur être retirés, leur infligeant ainsi une forme de "double peine".
Si les Français, qui ont longtemps vécu sur le mythe des "prisons trois étoiles", ont découvert récemment le véritable visage de leur système pénitentiaire, il leur reste encore bien des vérités à regarder en face. Le sort réservé aux femmes vient au premier rang.
Martine Schachtel, qui avait déjà joué un rôle pionnier dans les luttes des infirmières, s'est résolument engagée dans la difficile réforme tendant à faire bénéficier les détenus de soins médicaux dignes de ce nom. Elle raconte non seulement les blocages imposés par les corporatismes du monde pénitentiaire, mais surtout sa découverte de l'incroyable solitude de ces femmes souvent condamnées pour des faits mineurs liés à la misère, à la prostitution ou à la toxicomanie.
Un document sans concession sur les grandes oubliées du débat autour de la nécessaire réforme des prisons françaises.
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Dans le service hospitalier du professeur Gérard, le combat pour la vie est permanent, impitoyable. Pourtant, plusieurs malades y meurent subitement, atteints d'une même affection. Nouveau virus ? Ou tueur en série ?
Des médecins aux infirmières en passant par les malades, tout le monde peut être soupçonné, mais l'enquête est vite close. Sauf pour l'interne Bertrand Lavie et Léa, l'infirmière dont il est amoureux, qui auront bien du mal à découvrir la vérité. Elle dépasse tout ce qu'ils peuvent imaginer...
Auteur de J'ai voulu être infirmière et de Ne souffre plus je t'aime, Martine Schachtel, professionnelle du monde hospitalier, nous fait découvrir la face cachée de l'hôpital où les excès et les ambitions de certains peuvent nuire plus que guérir.Grand format 16.00 €Indisponible
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Nouv.
Au bonheur d'une dame
Martine Schachtel
- Privat
- Roman Historique Privat
- 14 Novembre 2024
- 9782708902770
C'est l'histoire romancée de la vie de Marguerite Boucicaut, une femme indépendante au XIXe siècle et qui a été à l'avant-garde des lois sociales du monde du travail.
En 1828, à douze ans, analphabète, née de père inconnu, vivant une misère noire dans sa Bourgogne natale, Marguerite « monte » à Paris. Blanchisseuse puis gérante d'un bouillon, elle rencontre Aristide Boucicaut. Fille-mère durant huit ans, elle vit la honte et l'humiliation. Devenue Madame Boucicaut, propriétaire du Bon Marché, elle initie de façon inédite les premières mesures sociales progressistes (intéressement au chiffre d'affaires pour tout le personnel, repos hebdomadaire, congés payés, caisse de retraite sans contribution des employés...). Sensible aux frémissements de mouvements féministes, elle priorise le recrutement de vendeuses et promeut avec conviction l'égalité hommes-femmes au sein de son entreprise. Une destinée hors du commun.
