Un mezzé ? Une assiette anglaise ? Un salmigondis ? Un amphigouri ? Les Miscellanées de Mr. Schott sont tout cela, sinon davantage : une collection de notations instructives ou saugrenues, n'ayant pas la prétention de faire autorité, d'être exhaustives ni même pratiques. Mais aucun autre guide gastronomique ne vous dira quel est le goût d'une punaise d'eau géante, comment Hemmingway composait ses Martini, ni comment porter un toast en finnois ou encore pourquoi Zeus dormait sur un lit de safran...
Les Miscellanées culinaires de Mr. Schott donneront autant de nourriture à votre esprit que d'esprit à votre nourriture, que vous soyez un glouton, un goinfre, un goulu, un gourmand, un gourmet ou un gastronome.
Écrire, c'est d'abord s'asseoir. Plutôt que de s'asseoir devant un bureau, l'auteur a choisi de s'asseoir dans un avion.
Cinquante millions de personnes sont transportées chaque année par la compagnie low cost easyJet. Vacances ou travail, toutes entreprennent le voyage dans un but donné. Pour l'auteur au contraire, le transport lui-même a pris le pas sur la destination. Alexandre Friederich a décidé de rejoindre en vingt jours dix-sept destinations, ainsi reliées de façon arbitraire. Son objectif : passer le plus de temps possible à bord des avions. Avec l'acuité du sociologue et la verve réjouissante de l'ironiste, il relate dans easyJet cette expérience, met en évidence le caractère aberrant d'un système qui infantilise l'homme, le transforme en marchandise ou l'humilie au nom de sa sécurité.
Lire easyJet, c'est peut-être se prémunir mais c'est aussi entrevoir la fin d'un modèle, celui du low cost et, avec lui, du voyage.
Les techniques de la création picturale, depuis la préparation du support jusqu'au vernissage du tableau. L'auteur (1897-1987), originaire de Kiev, est arrivé à Paris en 1926, où il expose ses toiles, puis restaure des tableaux de maîtres, avant d'enseigner aux Beaux-Arts de 1969 à sa mort.