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D'abord le girond Big Book of Breasts, puis le phallique Big Penis Book, le cavaleur Big Book of Legs et le fessu Big Butt Book. Ne pouvait venir ensuite qu'une exploration approfondie du pudendum féminin, ce mystérieux et douillet orifice que l'homme cherche à fuir pendant neuf mois et tente de réinvestir le reste de sa vie. Le Gros livre du Minou, à ne pas confondre avec le Livre du gros Minou, clôt cette collection aussi populaire que controversée, et promet, de ne laisser aucun lecteur indifférent. Comme pour les précédents volumes, l'éditrice Dian Hanson s'est plongée dans l'histoire et la symbolique de cette autre partie charnue du corps humain, et montre comment, dans différentes civilisations, de la Nouvelle-Guinée à l'Irlande médiévale, le yoni a été convoité et vénéré, mais aussi craint, insulté, outragé. Au texte sont adjointes des photographies badines de femmes exhibant leurs vulves, prises de 1900 à nos jours. La description de l'intimité féminine a très longtemps été entachée d'une pudeur honteuse injustifiée; le Big Book of Pussy recadre le débat grâce à ces modèles exposant leurs parties intimes avec légèreté et enthousiasme, en souriant les lèvres ouvertes... Avec plus de 400 photos, cet ouvrage ne recule ni devant l'emphase ni devant l'exhaustivité, et s'aventure tant dans les jungles sauvages que sur les gazons les mieux entretenus.
Notre éditrice à rencontré plusieurs experts du cunnus, parmi lesquels l'auteur connu sous le pseudonyme imagé de Pussyman, et plusieurs propriétaires de minous célèbres comme Vanessa del Rio ou Buck Angel; les photographes Terry Richardson, Richard Kern, Ralph Gibson, Jan Saudeck, Guido Argentini, Ed Fox et autres, dévoilent leurs photos de chattes favorites; sous ce déluge d'arguments, arrivé à la page 368, le lecteur le plus timide ne pourra que miauler: "Viens mon minou, viens!" -
Tom of Finland XXL
John Waters, Todd Oldham, Camille anna Paglia
- Taschen
- Photographie
- 4 Juillet 2016
- 9783836527248
C'est en 1998, avec The Art of Pleasure, que TASCHEN a fait découvrir au monde l'art remarquable de Touko Laaksonen. Avant cela, Laaksonen, alias Tom of Finland, artiste culte de la communauté gay internationale, était pratiquement inconnu du grand public.
En 2009, TASCHEN poursuit l'entreprise avec l'ouvrage ultime retraçant l'oeuvre de Tom, Tom of Finland XXL, une magnifique édition collector grand format réunissant plus de 1.000 illustrations et couvrant 60 ans de carrière de l'artiste. Son oeuvre a été réuni avec l'aide de la Tom of Finland Foundation, à partir de collections conservées aux États-Unis et en Europe, et comporte de nombreux dessins, peintures et études préparatoires qui n'avaient encore jamais été publiés. D'autres n'avaient jusqu'alors été vus qu'isolément et sont montrés ici dans l'ordre séquentiel prévu par Tom, gagnant ainsi toute leur valeur artistique et leur charge érotique.
Cet élégant volume grand format présente toute l'étendue du talent de Tom, de ses portraits sensibles à ses descriptions explicites du plaisir sexuel et à ses hommages pleins de tendresse rendus aux jeunes hommes emportés par le sida, et il inclut, en complément, huit essais écrits pour l'occasion par Camille Paglia, John Waters, Armistead Maupin, Todd Oldham, entre autres, qui reviennent sur l'influence sociale et personnelle de Tom, ainsi qu'une étude approfondie de ses dessins par l'historien d'art Edward Lucie-Smith.
Jusqu'à maintenant, la seule chose qui manquait à Tom of Finland XXL était un prix accessible au plus grand nombre. Le nouveau Tom of Finland XXL est toujours aussi gros, fera autant travailler vos biceps et reprend tout du contenu original, mais ne coûte qu'une fraction du prix d'origine. Il vous souhaite la bienvenue. -
New York Girls, dont la première parution remonte à 1995 et que TASCHEN a édité en 1996, caractérisait une époque, un lieu et l'esthétique crue du photographe et réalisateur Richard Kern. Figure majeure du cinéma transgressif des années 1980, Kern a réalisé les films emblématiques You Killed Me First, Fingered et Submit to Me Now. Il a également dirigé le clip de Death Valley 69 du groupe Sonic Youth et de Lunchbox de Marylin Manson, et fut l'éditeur des fanzines pionniers The Heroin Addict et The Valium Addict.
Après s'être débarrassé de son addiction à l'héroïne, Kern s'est tourné vers la photographie posée, prenant pour modèles les filles de son quartier et de son cercle de connaissances new-yorkais influencé par le mouvement punk. Elles apparaissent nues, voluptueuses, montrent leurs tatouages, leurs piercings, et posent avec désinvolture dans des tenues plus que légères, la plupart du temps dans l'appartement miteux de Kern. Les « Girls » étaient jeunes, mais pas innocentes, pleinement complices des scènes de bondage, des poses l'arme à la main et des fameuses « introductions » de bougies. En guise de texte, l'ouvrage proposait une interview de Kern par Kim Gordon. Cette série précédait SuicideGirls de six ans et était déjà totalement, infiniment cool.
Pour célébrer le 20ème anniversaire de l'oeuvre le plus connue de Kern, TASCHEN fait paraître une édition mise à jour, enrichie de photos jamais publiées auparavant et puisées dans les séances originales, ainsi que des clichés refusés pour le premier livre car jugés trop crus et des instantanés tirés de ses 25 films. Monica, Erin, Jaiko, Jen, Susan, Amy et Sam vous manquaient? On a pensé que vous aimeriez les revoir encore un peu.
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Exquisite Mayhem ; the spectacular and erotic world of Wrestling
Collectif
- Taschen
- Varia
- 29 Octobre 2015
- 9783836558280
Du sang, de la sueur, des larmes et des corps en bikini qui se tordent, ce livre compile les meilleurs images de Theo Ehret, géant méconnu de la photographie sportive. Du milieu des années 1960 au début des années 1980, Ehret a chroniqué les matchs organisés au Grand Olympic Auditorium de L.A., ainsi que le sous-genre érotique alors baptisé «catch en appartement».
Pesage, blessures, rixes en coulisses et foules captivées, les clichés d'Ehret saisissent toute l'action et l'atmosphère du Grand Olympic Auditorium, l'arène où les héros comme André the Giant, Killer Kowalski, The Sheik, Gordman & Goliath, et Jesse «The Body» se sont frayés un chemin vers la gloire à coups de poings. Les images prises au Grand Olympic sont accompagnées de photos tout aussi spectaculaires de catch en chambre, un phénomène fantasmatique masculin fait de seins et de fessiers nus, de membres musclés et de passions mises en scène.
Une interview d'Ehret enrichit l'ouvrage de ses commentaires personnels sur les différents aspects de la scène du catch, les légendes qu'il a rencontrées en cours de route et l'interaction entre fantasme, réalité et photographie. -
The title means «the little death,» a euphemism for orgasm, but the women who exuberantly masturbate for Toronto photographer Will Santillo in this book are as lively a bunch as you'll ever meet. Santillo conceived the project eight years ago to include a thorough cross section of women: young to old, slim to thick, perfect beauties to those not considered beautiful until seen through his lens. The one constant would be that each would decide and direct how she masturbated to climax while he captured the moment.
From previous projects with amateur subjects Santillo had come to believe that masturbation is a far more personal act than most sex play because it is conducted almost exclusively in private. He set out to reveal the diversity and creativity with which women approach self-stimulation, and to portray the beauty of ordinary women in the throes of orgasm-a beauty far richer than the male oriented depictions seen in pornography. Santillo says he seeks to uncover the hidden face of his subjects, and indeed, it's the faces that best show the intensity of response in these artfully explicit photos.
Framing these lush, sepia-toned pictures are Dian Hanson's interviews with 37 of Santillo' models. Their candid insights discuss overcoming inhibition, giving in to exhibitionism, and achieving orgasm in front of a stranger with a camera. For all who are curious about just what the woman next door-or one's own wife-gets up to in her private moments, La Petite Mort is a breath of life.